Frédéric AUGIS

C’est pas moi, ce sont les autres !

« Le « C’est pas moi, ce sont les autres !» que dégaine
François Hollande est irresponsable et inacceptable »

Le Président de la République et son Gouvernement sortent la carte de l’héritage politique, pour édulcorer leur responsabilité dans l’aggravation de la situation du chômage dans notre Pays. C’est la carte du «C’est pas moi, ce sont les autres ! "

Aux affaires depuis maintenant plus de 4 mois, les socialistes prennent des décisions en maniant le gourdin fiscal pour matraquer ceux qu’ils appellent les riches, autrement dit les investisseurs et les classes moyennes qui font marcher l’économie de la France.

Prendre pour cible ceux qui investissent en instaurant des impôts confiscatoires provoque irrémédiablement une perte de confiance brutale et une paralysie de l’initiative qui cassent le faible ressort de notre économie. Les conséquences sont manifestement dramatiques pour la France et la responsabilité en incombe bel et bien à la rue de Solférino.

 Nous avons besoin en réalité d’un Président de la République dynamique et volontariste pour protéger les Français contre les effets de la crise, non pas d’une majorité qui ne légifère que par esprit de revanche »

Présider la République, c'est ne pas inviter les dictateurs en grand appareil à Paris

Alors que la gauche a reproché à Nicolas Sarkozy les visites de Kadhafi ou d'el-Assad, François Hollande, rattrapé par la realpolitik, a reçu depuis mai plusieurs dirigeants de régimes peu démocratiques.

François Hollande a-t-il renié sa promesse d'un changement de politique à l'égard des régimes dictatoriaux? «Présider la République, c'est ne pas inviter les dictateurs en grand appareil à Paris», assénait le candidat à la présidentielle dans son discours du Bourget, en janvier 2012. Avec, en creux, le rappel des visites de Mouammar Kadhafi et de Bachar el-Assad au temps de Nicolas Sarkozy. Quelques mois plus tard, du président gabonais Ali Bongo au fils du roi d'Arabie saoudite, la liste des chefs d'États peu démocratiques reçus à l'Élysée est déjà conséquente.

Dernier en date, invité mardi au palais pour un entretien d'une demi-heure: le président azerbaïdjanais Ilham Aliev. Pas tout à fait un démocrate, puisque la dynastie des Aliev, au pouvoir dans ce pays depuis vingt ans, est accusée par les ONG de défense des droits de l'homme de réprimer l'opposition et la liberté d'expression.

Une république irréprochable ? oups...

Après la nomination d’un Premier Ministre, Jean-Marc Ayrault, condamné à six mois de prison avec sursis et 30 000 francs (4600 euros) d'amende, pour des faits de favoritisme, le Parti socialiste vient de proclamer Harlem Désir, Premier Secrétaire.

Un personnage intègre puisqu’il a été condamné, le 17 décembre 1998, à 18 mois de prison avec sursis et 30 000 francs (4600 euros) d'amende pour recel d'abus de biens sociaux De novembre 1986 à octobre 1987, Harlem Désir occupait la présidence de SOS Racisme tout en étant salarié par l'« Association régionale pour la formation et l'éducation des migrants », basée à Lille en tant que « formateur permanent » et il percevait pour cet emploi fictif, un salaire mensuel net de 8 900 francs ( 1357 euros).

C’est cela le vrai visage de la République irréprochable de François Hollande… Les Français jugeront…

Les socialistes jocondiens jettent l'argent public par les fenetres !!!

L’opposition municipale est consternée d’apprendre par voie de presse
que la Ville de Joué est condamnée à payer plus de 42 000 € de carburant à une
société de distribution suite au détournement de copies de cartes de crédit
municipales.

Nous avions évoqué il y a quelques mois cette situation devant Philippe
LE BRETON qui avait balayé d’un revers de main nos interrogations en affirmant
que l’escroquerie devait venir de la société de distribution. La sentence du
tribunal nous donne, aujourd’hui, raison sur les craintes que nous avions
soulevées en conseil municipal.

Puisque les faits sont avérés pour la justice, nous exigeons que toutes
les dispositions soient prises au plan judiciaire pour trouver les coupables de
cette escroquerie qui ont peut-être bénéficiés de complicités internes à la
Mairie.

Au moment où la crise économique frappe durement les français, où
l’essence est devenue une dépense qui pèse de plus en plus dans le budget des
ménages, les contribuables jocondiens n’ont pas a payer pour des erreurs ou
insuffisances de la majorité socialiste et de son représentant, Philippe LE
BRETON.

Soyons clair, 42000 euros c’est plus de 30.000 litres
d’essence !!! C’est une escroquerie de grande ampleur qui avait été mise
en place à Joué-lès-Tours.

Nous exigeons de comprendre, au nom de la transparence démocratique,
comment un tel détournement a pu se produire sans alerter immédiatement les
responsables municipaux, ce qui constitue un grave dysfonctionnement interne.

Une simple réorganisation interne ne nous suffira pas dans ce qui
semble constituer un détournement de fond public !